Plus de secrets ! Kazuma Kiryu est de retour pour enfin faire un lien évident entre la saga des Yakuza et celle de Like a Dragon. Un plaisir de pouvoir le rejouer, toujours aussi charismatique et au niveau de la transition qu’en est-il ?
Quel est le contexte dans Like a Dragon Gaiden ?
Sommaire
Like a Dragon Gaiden fait le lien entre Yakuza 6 et Yakuza: Like a Dragon. Si vous avez joué à ce dernier, vous allez revivre certaines scènes très importantes du point de vue de Kazuma Kiryu. Attention, il se peut que vous soyez spoilé, donc il est impératif de finir Like a Dragon avant de commencer celui-ci. Vous apprécierez d’autant plus les clins d’œils et vous situerez beaucoup mieux. J’ai adoré les idées du studio pour nous faire revivre certaines scènes et notamment l’ascension du clan Omi, que l’on connait malheureusement trop bien.
J’ai d’ailleurs eu une double sensation lorsque j’ai commencé le jeu. Autant j’étais trop contente de revivre certains passages de cette grande aventure dans Like a Dragon, autant je me suis sentie horriblement seule lors des combats. Surtout au début, ensuite, je m’y suis habituée à nouveau. Mais l’équipe était tellement importante dans le dernier opus que j’ai clairement eu une sensation de vide et d’abandon.
De Kiryu à Joryu
Joryu de son nom de code, a su passer inaperçu ou plutôt faire illusion durant quelque temps. Caché à Sotenbori, un quartier fictif d’Osaka où il prend ses marques et rencontres de nouveaux personnages.
Il rencontre Akame, une des personnalités les plus puissantes de Sotenbori. Elle étend son réseau pour protéger une niche d’habitants. Elle va donner à Joryu une flaupée de missions plus ou moins longue qui dévoileront d’autres personnages que vous pourrez recruter. Et aussi d’autres avantages.
Akame est encore un personnage attachant que l’on n’attend pas créé par le studio Ryu Ga Gotoku. En quelques heures et surtout quelques conversations autour d’un verre, on s’attache très vite à d’autres personnages et la famille des yakuzas ne cesse de s’agrandir.
Bienvenue à Sotenbori et son centre de loisir !
J’ai encore découvert des mini-jeux, et même si j’en connais certains, il y a parfois un contexte qui change tout pour avoir d’y jouer encore et encore.
Mais poussez-vous !
Je suis passée pro en modification de petites voitures pour gagner toutes les courses ! Je ne compte plus mes dimanches matin à passer des heures à regarder les voitures rouler seules en espérant que ce petit passage d’herbe ne va pas trop ralentir la voiture. J’ai dépensé des milles et milles à acheter des pièces de modification. Je me suis prise clairement au jeu aussi à aller rencontrer d’autres joueurs.
Come to me my gang
Je dis toujours que je déteste les combats, mais je vous dis pas le nombre d’heures que j’ai passées dans l’arène. J’ai trouvé le principe du combat à plusieurs et le recrutement de mon équipe, hyper passionnant. Là encore, j’ai passé un bon temps dessus. Et dommage que les formations coûtent si cher sinon j’aurai clairement level up tous mes acolytes !
En dehors de l’arène, il y a certaines phases de combats qui sont simplement épiques ! Il y a un nombre incroyable d’ennemis. Là les gadgets sont super utiles ! Une bonne cigarette explosive et on fait déjà pas mal de dégâts lorsque le groupe ennemi est bien regroupé.
Akame
Les missions d’Akame étaient aussi un pur régal pour moi. J’ai un peu craqué sur la longueur de certaines avec tous les combats des gangs qui venaient à chaque fois remplacer les autres, mais j’ai vraiment pris plaisir à faire les missions de recherches pour augmenter le niveau du magasin.
D’autant plus qu’Akame devient un personnage très attachant.
Est-ce que c’était vraiment indispensable ?
Sûrement une lubie du fils du patron ou du fan service pour 2 investisseurs, un bar à hôtesses avec de vraies hôtesses… Ce n’est plus de l’animation 3D, dès l’entrée dans le bar ce sont de vraies vidéos qui se lancent. Surjoué, hyper lent, je m’en serais franchement bien passé et honnêtement, je ne vois pas l’intérêt, ça n’apporte strictement rien au jeu.
Ryu Graphismes Gameplay Gotoku
Que dire de plus ? On est sur une constante de presque parfaititude sur une série de jeux et depuis ces dernières années. Le moteur ne se démode pas pour le moment. Le studio ajoute toujours un peu plus de gameplay innovant que l’on retrouve dans des finals de combat. Les animations sont toujours travaillées, on en prend plein les mirettes et j’ai encore pris du plaisir à faire des combos entre les différents styles de combats et les gadgets. Le studio n’arrive toujours pas à me lasser. Même si je n’ai pas pu jouer à absolument tous les Yakuzas, je prends toujours autant de plaisir que lors de la découverte de la licence sur PS2.
Like a Dragon Gaiden sous le sapin ?
Juste avant la sortie de Like a Dragon : Infinite Wealth, Like a Dragon Gaiden se laisse apprécier.