Le Japon féodal est à nos portes grâce à LIKE A DRAGON: ISHIN, un titre que j’attendais particulièrement ! Un contenu incroyable, une histoire qui tient en haleine et des protagonistes qui se distinguent tous les uns des autres. Le studio Ryu Ga Gotoku tape une nouvelle fois dans le mille pour nous offrir un titre accrocheur, déjanté et des plus complets.
LIKE A DRAGON: ISHIN
Sommaire
Dans les années 1860 à l’heure où le Japon est en phase de changer son histoire, Ryoma Sakamoto est victime d’une injustice. Obligé de changer de ville et de nom, il se refait un quotidien et noue des relations pour une réputation qui grandi au fil de ses bonnes actions. Mais il n’oublie pas sa mission : découvrir qui a tué son maître. Il rencontre de nouveau personnage, intègre le Shinsen Gumi où il espère trouver enfin l’assassin. Mais l’aventure ne s’arrête pas là, son passé le rattrape constamment et cacher son identité devient de plus en plus difficile.
LIKE A DRAGON: ISHIN, Bats-toi, danse et chante
Les combats
Le style de combats est pour la première fois très diversifié puisque d’entré de jeu, vous pouvez vous battre entre 4 techniques différentes. Soit à main nue, soit au katana, soit au katana et arme à feu, soit uniquement à l’arme à feu. Bien sûr, les ennemis auront aussi ce choix selon le type que vous avez en face de vous et le moment de l’histoire. Vous pourrez donc adapter votre style en plein combat. Veillez alors, soit à bien améliorer votre technique de combat en apprenant auprès de sensei. Soit de faire fabriquer les meilleures armes qui vous demanderont de farmer un peu les petits combats pour récupérer du bon matos et aussi pas mal d’argent.
Ryoma, un entrepreneur né
Mais vous pourrez aussi faire du business au fil des chapitres pour aller de tâches ingrates à quelques choses de plus valorisant et plus intéressant. Il sera aussi possible de vous improviser chef cuisinier de renom, sauveur des quartiers et de l’opprimé et bien d’autres missions variées au gré de vos rencontres à chaque coin de rue.
Après l’effort, le divertissment
Vous pourrez dépenser vos mons et autre ryo durement gagnés en vous essayant à la chansonnette. Ça vaut vraiment le détour, l’humour est encore une fois pépite sur ce titre du studio Ryu Ga Gotoku et même si la participation revient à 500 mons, il se rait dommage de vous en passer. La danse quant à elle est à débloquer en vous promenant et en tombant sur un pnj spécifique. Le gameplay est plus technique que la musique, mais voir Ryoma danser vaut clairement le temps de recherche !
Missions secondaires
Des tonnes, des tonnes vous dis-je ! Lorsque vous vous promènerez dans les différents quartiers, il est fort probable que vous tombiez sur des missions secondaires, un événement qui vient se glisser devant vous alors que vous partiez pour une mission principale ou une tâche à faire. Certains se déclencheront automatiquement, mais d’autres vous demanderont un peu plus de curiosité. Il ne tient qu’à vous de les suivre ou pas. Je vous conseille de le faire, car chaque action vous apportera de la vertu que vous pourrez dépenser en bonus dans un sanctuaire. Il est d’ailleurs très judicieux d’économiser de la vertu dès le départ pour acheter l’amélioration qui permet de recevoir plus de vertu et ainsi de suite pour qu’elle augmente considérablement. Au fil des chapitres, il y aura d’autres bonus à débloquer.
Des graphismes incroyables
Les moindres dialogues sont tous traduits, je n’ai eu que deux traductions ratées sur un mini-jeu spécifique, de défi en combat, donc vraiment rien de bien méchant. Il est donc possible de s’imprégner pleinement du titre sans faire l’effort d’une langue intermédiaire.
Pour les graphismes, les cinématiques sont incroyables, elles l’étaient déjà dans la saga Judgment et Yakuza Like a Dragonmais là, je dois dire que j’en ai vraiment pris plein les mirettes avec une ambiance de Japon comme je les aime. Le côté ville moderne était déjà réussi, mais là, le Japon féodal, c’est une toute autre ambiance qui vaut clairement le détour dans ce titre. Une fois ingame le jeu reste très qualitatif au niveau des graphismes, il n’a pas à rougir d’un downgrade des plus grosses surcouches qui offrent des détails sublissimes aux cinématiques. Et d’ailleurs on y revient à chaque fois encore plus impressionnée.